A leur arrivée à huit heures, les élèves traversent le jardin avant de se rendre en cours de français. Ils ne sont que dix par classe et leur cours de grammaire ne durera que quarante-cinq minutes. Leur professeur ne les tutoie pas mais cependant les interpelle par leurs prénoms. En effet, l'effectif réduit des classes permet un bon rapport entre les élèves et leurs professeurs. En plus des cours de grammaire, les élèves du lycée Tamasi Aron disposent de cours d'oral et d'un lecteur français qui les initie à notre littérature et leur permet d'assimiler l'accent français. Mis à part pour les langues, leurs cours ne diffèrent pas des nôtres. Les interclasses durent dix minutes, beaucoup d'entre eux en profitent pour manger un en-cas sucré ou un sandwich au salami. L'établissement est composé de trois bâtiments où sont répartis des élèves de sept à dix-neuf ans, âge ou les jeunes Hongrois passent le baccalauréat. Jusqu'à cet examen, ils ne sont notés que sur cinq.
A midi, les élèves disposent d'une pause de vingt minutes pour manger, durant laquelle ils se rendent à la cantine où leur est servi un repas chaud salé composé le plus souvent d'une soupe et d'un ragoût. Cependant, ils peuvent à toute heure se rendre à la petite épicerie de la cantine et y acheter des barres de céréales, des jus, des paninis au maïs et des yaourts.
L'établissement offre aussi des infrastructures sportives composées d'un gymnase et de trois terrains de sport mais aussi d'un parc et d'un petit bois.
La sonnerie qui retentit à 14h30 annonce la fin des cours. Les élèves rentrent chez eux, peu pressés parce que la faible quantité de devoirs donnée par leur professeur, ce qui leur laisse l'après-midi de libre.
EFE en Magyarország
Ce blog comprend tous les médias rassemblés par nos journalistes sur le voyage attendu en Hongrie de la section EFE du lycée Pierre de Fermat (Toulouse), qui s'est déroulé comme nous le savons du 17 au 24 avril 2011. Notre envoyé spécial à Budapest a interviewé certains participants, nous expliquant le déroulement d'une journée au lycée et nous décrivant les principaux lieux ainsi que leur histoire, de la ville de Budapest.
dimanche 22 mai 2011
vendredi 13 mai 2011
Guide touristique par les participants
1 - Le pont aux Chaînes - Széchenyi lanchid
2 - Le château de Buda sur la colline (Varhegy)

Le château royal, perché sur sa colline, a été détruit et reconstruit à plusieurs reprises : lors du siège et à la libération de Budapest en 1686 et à nouveau lors de la seconde guerre mondiale. Une statue équestre est dédiée à Eugène de Savoie. Les ailes de l'édifice abritent la grande librairie, la galerie nationale hongroise et le musée d'histoire de Budapest.
3 - La place des héros

La place des Héros (en hongrois : Hősök tere) est l'une des places principales de Budapest et est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO. Elle se trouve dans le XIVe arrondissement, au bout de l'avenue Andrássy. Au centre de la place des Héros se trouve le monument du Millénaire, construit pour célébrer le millénaire de la Hongrie. Il fut construit de 1896 à 1922 et est composé d'une galerie de colonnades en demi-cercle. Au centre se trouvent les statues de sept rois magyars et en demi-cercle autour se trouvent des statues représentant une série de célèbres Hongrois ayant influencé l'histoire du pays. L'ensemble est couronné d'une colonne avec l'archange Gabriel au sommet. Sur la place figure également le monument aux morts de la guerre de la libération de 1848-1849 et une statue équestre du Roi Árpád entouré de compagnons d'armes.
4 - L'île Marguerite (Margit-sziget)

Margit-sziget est une île du Danube située au centre-nord de Budapest. Elle est actuellement recouverte par des espaces verts et doit son nom à Sainte Marguerite, fille du roi Béla IV, qui y résida dans un couvent dominicain jusqu'à sa mort en 1271. Longue de 2.5 km et large de 500m, c'est une aire de loisir très populaire. Les Chevaliers de Saint-Jean s'établirent sur l'île au 12ème siècle. les monuments historiques encore présents sont les ruines du 13ème siècle d'une église Franciscaine et d'un couvent dominicain. En effet, durant les guerres ottomanes les moines et les nonnes fuirent et certains bâtiments furent détruits.
5 - La rue Vaci (Vaci utka)
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